IL N'Y A RIEN A RENNES-LE-CHÂTEAU Contexte : Cet article compile des extraits d'une étude sur la symbolique (notamment chrétienne, mais pas seulement) développée dans le domaine de Rennes-le-Château. Partant du constat que les recherches effectuées jusqu'à présent se contentaient d'exploiter tel ou tel symbole dans le but d'alimenter une théorie de départ, il a s'agit d'inverser la question et tenter de percevoir si les symboles eux-mêmes, mis en corrélation les uns avec les autres, tendaient à révéler "quelque chose". Il s'avère que oui, si on les aborde sans préconçu et en cherchant à faire parler leur agencement sans attendu en particulier, on voit se dessiner une logique, logique qui, si on persiste à la retracer, nous conduit ensuite à une méthodologie. UNE QUESTION DE DÉMARCHE "Quand les mystères sont très malins ils se cachent en pleine lumière" J. Giono En abordant l'énigme de RLC, deux éc
Comme dit l'adage "il n'est pire aveugle que celui qui ne veut voir". Il ne s'agira donc pas ici encore de chercher à convaincre mais de partager avec les convaincus l'état de l'avancée de certaines réflexions, constatations, croyances... Il s'avère que j'entame ma deuxième année d'interrogations assidues à propos de RLC et Saunière. Il faut croire que le temps est une donnée ... intemporelle. On est pris, on a le nez dans le guidon, on ne voit pas les heures s'écouler. Et finalement on se retrouve en train de chercher. "Chercheur", ainsi donc ? Possiblement. Mais... de quoi ? C'est là l'aspect le plus étrange des réflexions auxquelles je me suis livré suite à l'étude du domaine de Bérenger Saunière : Tout ça pour... quoi, au final ? Car, en effet, il y a, et... il y en a ! A Rennes-le-Château, matière à se décortiquer les méninges. La seconde chose surprenante (pour moi) a été de voir qu'en réalité l